Elon Musk, milliardaire et patron de Tesla, SpaceX et Neuralink
s’est lancé dans une stratégie de procréation massive aux États-Unis pour lutter contre ce qu’il appelle l’effondrement démographique mondial.
Elon Musk, 53 ans, n’est plus seulement connu pour ses projets technologiques ambitieux. Il mène désormais une croisade personnelle contre le déclin de la natalité mondiale en multipliant volontairement les naissances.
Il aurait déjà au moins 14 enfants avec quatre femmes différentes, souvent via fécondation in vitro (FIV) et avec des partenaires sélectionnées pour leurs « capacités intellectuelles ».
Des enfants conçus pour l’avenir
Le dernier en date, Seldon Lycurgus, est né de sa relation avec Shivon Zilis, cadre chez Neuralink et diplômée de Yale. Cette dernière a révélé la naissance sur X (ex-Twitter), le décrivant comme un « bébé comme un mastodonte ». Le couple a déjà eu les jumeaux Strider et Azure ainsi qu’une fille, Arcadia.
Elon Musk privilégie une approche quasi-scientifique de la parentalité : recours systématique à la FIV, césariennes pour favoriser de plus grands crânes, préférence marquée pour les garçons, et choix de prénoms atypiques comme X Æ A-Xii ou Tau Techno Mechanicus.
Un pronatalisme assumé
L’entrepreneur assume pleinement cette démarche, qu’il inscrit dans une vision plus large : éviter un effondrement civilisationnel dû à la baisse mondiale des naissances. Il a souvent affirmé que les « gens intelligents doivent faire plus d’enfants » pour garantir l’avenir.
Selon plusieurs sources, Musk aurait même proposé son sperme à des amis, des proches et à des figures étrangères. Une influenceuse MAGA, Ashley St. Clair, affirme avoir eu un enfant avec lui, Romulus, et avoir refusé une offre financière pour garder cette paternité secrète.
Si certains saluent son engagement démographique, d’autres s’inquiètent de l’éthique de cette stratégie. Entre sélection génétique implicite, rapports de pouvoir et marchandisation de la reproduction, la méthode Musk soulève de nombreuses questions.