La styliste de Kim Kardashian a partagé son récit poignant concernant les événements dramatiques survenus lors de la Fashion Week d’octobre 2016, alors qu’elle accompagnait la célébrité américaine. Présente à ses côtés pour divers événements de haute couture, elle était là lors de la première du défilé Givenchy, juste avant que le braquage ne se produise.
De retour à l’hôtel où elles séjournaient, le No Name, Simone B. a pris la décision de se retirer dans sa chambre, située au rez-de-chaussée. Elle a été brusquement réveillée par des sons étranges. «C’était terrifiant», a-t-elle déclaré. «Il y avait du bruit et des voix d’hommes qui s’élevaient fortement.» Dans cette atmosphère chaotique, Kim Kardashian appelait à l’aide, criant : «J’ai des enfants, j’ai des bébés, il faut me laisser en vie. Prenez tout ce que vous voulez, mais laissez-moi en vie», a-t-elle rapporté au tribunal.
Simone a souligné la proximité de leur relation, déclarant : «Je ne suis pas seulement là en tant qu’employée, mais aussi comme une amie de longue date. Je connais son état d’esprit, quand elle est heureuse ou quand elle traverse des difficultés.»
Alors que la chaos se poursuivait, la styliste s’est réfugiée dans la salle de bains, écoutant Kim Kardashian, dont la voix trahissait une terreur palpable. Elle a immédiatement tenté de joindre Kourtney, la sœur de Kim qui se trouvait également à Paris ce soir-là. Kourtney lui a assuré que le garde du corps de sa sœur était en route. Les minutes ont semblé interminables. Finalement, Simone a perçu des bruits de pas se rapprochant d’elle. «Je me suis dit que c’était mon tour», se remémore-t-elle. En réalité, les cambrioleurs étaient déjà en train de s’enfuir.
Après un silence accablant, la styliste a finalement entendu Kim appeler son nom, demandant si les intrus étaient partis. Simone s’est alors précipitée pour enlever le ruban adhésif de ses chevilles et retirer les morceaux de scotch toujours présents autour de sa bouche. Elle a immédiatement remarqué que Kim ne semblait pas elle-même. «Je ne l’avais jamais vue dans un tel état.», a t’elle affirmé.