Toujours aussi provocateur, Burna Boy, de son vrai nom Damini Ogulu, s’est confié sans filtre sur ce qu’aurait pu être sa vie sans la musique.
Le chanteur nigérian, lauréat d’un Grammy Award et figure majeure de l’afrobeats, a fait une déclaration pour le moins étonnante lors d’un échange informel avec un membre de son entourage.
Interrogé sur le parcours qu’il aurait suivi s’il n’était pas devenu artiste, Burna Boy a répondu sans détour :
« Il y a beaucoup d’options. Je pourrais voler du pétrole, jouer au basket, être un escroc, un kamikaze… même une prostituée. »
Une sortie provocante, dans la droite ligne du personnage sulfureux qu’il cultive depuis ses débuts, mais qui témoigne aussi, en filigrane, des réalités sociales difficiles de nombreux jeunes Nigérians.
Un record africain sur le Billboard Hot 100
Parallèlement à ces confidences étonnantes, Burna Boy continue d’écrire l’histoire de la musique africaine à l’international. L’artiste vient en effet de réaliser un nouvel exploit : il devient l’artiste africain avec le plus grand nombre d’entrées dans le classement américain Billboard Hot 100, avec un total de sept titres classés.
Le dernier en date, « WGFT », une collaboration avec le rappeur américain Gunna tirée de l’album The Last Wun, a fait son entrée cette semaine à la 96e place du prestigieux classement.
Mieux encore : Burna Boy devient le premier artiste africain à entrer au Billboard Hot 100 cinq années de suite, de 2021 à 2025, une performance inédite qui confirme son statut de superstar mondiale.